Deux cents personnalités appellent
à une marche nationale,
pour d’autres choix à gauche.
Une première riposte
pour exiger un autre cap
après la sanction des municipales.
pour exiger un autre cap
après la sanction des municipales.
Après s’être réfugiée dans l’abstention aux municipales, la colère de gauche retrouvera-t-elle sa voix en reprenant la rue ? C’est le pari que font les organisateurs de la marche du 12 avril, parmi lesquels des syndicalistes de diverses confédérations (CGT, FSU, FO, Solidaires…), des intellectuels et artistes comme l’altermondialiste Susan George, le chanteur Nilda Fernandez, l’écrivain et cinéaste Gérard Mordillat, les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, des animateurs du mouvement social (Jean-Baptiste Eyraud, du DAL ; la féministe Maya Surduts ; Janette Habel, de la Fondation Copernic ; Marie-Laure Brival, de la maternité des Lilas, etc.) et des responsables et élus politiques du Front de gauche, anticapitalistes, écologistes et socialistes, dont Dominique Adenot, André Chassaigne, Éliane Assassi, Pierre Laurent, Jean-Luc Mélenchon, Patrick Le Hyaric (Front de gauche), Liem Huang Ngoc (PS), Jean-Luc Touly (EELV), Olivier Besancenot et Philippe Poutou (NPA). Dans un texte publié dans l’Humanité du 20 mars, les deux cents signataires (liste complète sur humanite.fr) appellent « à une marche nationale d’espoir à gauche, contre l’extrême droite, pour l’abandon du pacte de responsabilité, pour une juste distribution des richesses », à Paris.
Après la raclée des municipales,
le Président de la République reste sourd
de l’oreille gauche et nomme
Manuel Valls premier ministre…
La droite est satisfaite, le MEDEF est ravi,
la Commission de Bruxelles est rassurée !
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